Le jeudi 28 juin, nous avons fait le pot des cm2. C'était de 18h30 à 20h30. Nous avons fait ce pot pour la sortie de l'école et la future arrivée au collège. C'était dans la cour de récréation.

Lorsque que je suis arrivé j'étais un peu en retard parce que ma mère devait préparer des gâteaux... Tout le monde était en sueur: il avait fait un match de foot et il avait envoyé la balle. Sur le buffet il y avait des boissons, des chips, des bonbons, des gâteaux et un tajine. Je m'était régalé(surtout avec les chips goût poulet rôti, bolognaise, barbecue), c'était succulent.Pour pouvoir continuer ils ont emprunté la balle des cm1 mais elle aussi a été rapidement  envoyé donc ils ont pris leur 2 balle mais j'ai essayé de leur prendre la balle et ensuite j'ai couru avec puisque je m'ennuyais mais rien n'y fait petit à petit tout le monde s'est mis à  jouaient aux trottinettes .Puisque je n'en n'avais pas ramené j'ai demandé pour en emprunter une. Quelqu'un me la prêter et j'ai surtout jouait dans la pente des poussettes .C'était super bien mais il fallait que certaines personnes rentrent chez elle je leur ai dit au revoir .La cour se vidait de plus en plus à la fin il ne restait plus que moi théo et jojo on a fait une séance de tir aux buts et on du partir. Moi j'ai accompagné théo chez nicolas (un cm1).

Ce pot a été préparé par Sonia Maaloul (ma maman)  et Sophie Thomas (maman de jules).

écrit  par Amine Maaloul

 édité par Erwan Mercier et Suzanne Richart

Notre dernière fête de l'école

Ca y est!!!!!!! Notre dernière fête de l'école est arrivée! Elle qui était si attendue!

Et elle n'est pas la seule à arriver; le beau temps aussi. On en a, de la chance!!!

Mais, il faut encore se préparer...

Nous voilà donc le samedi 23 juin 2012. Le soleil est là, ainsi que la bonne humeur et l'excitation de tous les petits écoliers de Sainte Geneviève.

Tout le monde arrive à la même heure que d'habitude: 8heures 20.

Mais parlons quand même des CM2! Ils étaient tranquillement installés sur leur palier, en train de regarder un documentaire sur Anne Frank. Jusqu'au moment où Mr Lévêque vint chercher les musiciens pour répéter un peu leurs morceaux. J’étais dans tout cet orchestre. En tout nous étions six, dont trois CM1.

Nous partîmes donc. Une demi-heure plus tard, le reste de la classe nous rejoignit. Ils allèrent s'habiller pour les mimes qu'ils allaient faire sur "les noces de Cana".

Enfin, la messe commença.

Lorsqu'elle fut finie, tout le monde se rua vers la sortie, tous impatients de découvrir les jeux qui attendaient tout ce petit monde. 

Inès et moi avions décidé de passer cette merveilleuse journée ensemble.

Nous avons commencé par aller chercher des frites avant qu'il n'y ait trop de monde. Nous avons bien fait...

Ensuite, direction les jeux!!!!

Mes jeux préférés étaient le château gonflable et le chamboule-tout.

A 14heures, il fallut aller se préparer pour la danse, qui commençait une demi-heure après.

Nous fîmes notre danse deux fois, pendant que Mr Douez filmait.

Ensuite, on reprend les jeux.

Les pistolets à eau arrivent et tout le monde s'arrose. Moi, j'ai arrosé mes trois frères et mon père. Du coup, ils m’ont vidé mon pistolet sur la tête...

Mais bon, la journée s'est vraiment bien déroulée, aucune goutte sur la tête (à part celles du pistolet à eau). Evidemment pour nous, les CM2, elle n'était pas comme les autres, puisque c'était la dernière...

Moi, je me suis promis de revenir l'année prochaine!!!!!!

Phine ( José )

La journée littéraire (le12 mai)

Ce jour là, tous les CM2 s'étaient réunis, peu avant l'entrée des parents dans la salle. Nous stressions tous. Chacun était occupé à réviser son texte, sauf moi (Joséphine), qui l'avais oublié à la maison. Je fis donc répéter tous les rôles d' Inès, pour me rendre utile.Pff!!!

Puis, les parents entrèrent  lorsque Mr. Douez leur ouvrit la porte. Ils s'installèrent alors sur les bancs. Du côté des toilettes, les premiers comédiens se préparaient et relisaient une dernière fois leurs textes.

Tout le monde se posait la même question : " Est-ce qu'on va réussir???"

Tess, la présentatrice, sort des coulisses. Elle annonce l'arrivée de Jules, sous le rôle de Jules Verne, accompagné des héros de ses écrits interprétés par: Titouan, Ines, Erwan, Charles, et Grégoire.

Ensuite, vint le tour de Tess et Maïlys qui jouèrent les rôles de la femme à l'ombrelle, (Tess déguisée avec une magnifique robe et une jolie ombrelle (parapluie)), et Renoir .

Puis, ce fut à Antoine, qui interpréta Stan Getz. Il se servit du saxophone de son grand-père, un peu abimé et rouillé par le temps... Ce qui montrait que ce saxophoniste et sa musique étaient très vieux !

Joséphine passa et joua Mozart, avec un petit problème de musique. Ah! La technologie de nos jours!!!

Les tours passèrent, les élèves continuant d'interpreter superbement leur rôle !

Ainsi passa le tour d'Amine, avec son fameux tapis volant tiré par deux génies assez originaux...

Chaque rôle était joué avec une note de rire, soit avec notre nouvelle technologie, soit avec notre brillantissime humour. Ceux qui n'étaient pas encore passés stressaient de plus en plus. Mais, on rassure: "au début, on a peur, puis on se détend !!!"

Certains passèrent toute leur matinée dans les coulisses. D'autres en sortir rapidement, avec le soulagement d'avoir terminé. Ouf!!!!!

La matinée se finit en beauté  avec une poésie de Verlaine, "chanson d'automne",  récitée magistralement par toute la classe.

Toutes les pièces ont été très appréciées par les parents.

Finalement, on alla tous voir les CM1 pour regarder ce qu'ils avaient fait....

Ensuite, nous sommes allés en récré et nous nous sommes détendus un petit peu. Fini!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Terminé!!!!!!!!!!!!!!!!!☺☺☺☺☺☺!!!☻

Joséphine et Amine

        L’énigme du respect

          C'était pendant le mois de décembre, peu de temps avant la grande fête chrétienne de Noël. Sara et Octave avaient tout juste dix ans. Eux-mêmes vivaient à Tabarka, terre de bruyères et ville côtière près de la frontière entre l'Algérie et la Tunisie où l'on pêche encore le corail. Chacun d'eux portait un pendentif autour du cou, cadeau de leur grand-mère. Mais, alors qu'Octave dissimulait sous sa tunique un bijou d'argent berbère, Sara portait une croix.

          La vieille dame se plaisait parfois à raconter comment ses ancêtres nomades se scarifiaient le visage pour incruster le bijou dans leur peau et délivrer ainsi un message. Avant de partir, elle avait dit :

         « Je vous donne les quatre directions du monde, car nous ne savons pas où vous irez    mourir ».

         Certaines personnes croient en Dieu, d'autres pensent qu'il n'existe pas. Sara et Octave se rassemblaient chaque jour autour de leur père : à Tabarka, les gens lisaient le Coran et la mosquée était un refuge pour leurs prières. Mais la fillette se posait beaucoup de questions. Un jour, un pêcheur lui avait dit :

-      « Depuis toujours, les hommes ont cherché des réponses à ce qu'ils ne comprenaient pas, ainsi sont nées les religions ».

         Ce que l'homme lui avait dit était-il vrai, les religions n'existaient-elles que pour guider l'humanité? En ce mois de décembre où la France scintille de flocons, Sarra et Octave  tenaient bien plus encore à cette croix chrétienne et au bijou berbère de leur aïeule française...

Octave et Sara sont deux charmants et gentils enfants qui s’amusent beaucoup et ne se disputent  jamais.

Ce sont deux cousins. Pourtant ils ont des caractères très différents.
Octave vit à Tabarka, Sara vit en France, c’est une jeune chrétienne âgée de presque onze ans. Par contre, Octave, plus jeune d’une année et plus calme, préfère plutôt jouer tranquillement dans la montagne.

Un beau jour, les deux enfants décident de gravir la montagne, pendant les vacances scolaires en France, pour faire une promenade.

-      Les voilà qui courent en gambadant  joyeusement, en chantant
Je veux rester toujours à la montagne " dit Sara

-      Nous reviendrons chaque jour " ajoute Octave….

C'est l’hiver ; la neige est partout, les deux enfants partent se promener jusqu’au grand rocher.
Tout à coup ils s’arrêtent. Une voix les attire.

-      Arrête Octave, écoute… C’est quoi ce bruit ?

-      Il nous fait signe " dit Octave

-      Signe? Signe de quoi???

-      Quelqu’un est en danger  cousine"

-       Non. Non !!! Je rêve, c’est le bruit des sapins"

Ils continuent leur chemin en montant. Ils arrivent au rocher qui les sépare du sommet qui était tout blanc. Ce sont les neiges éternelles ; elles ne fondent jamais.

-      J’entends une voix s’écrie Sara !

Cependant, le silence règne. Les deux enfants essaient de suivre le son ? Ils avancent lentement.

-      Chut, chut Sarra !! Ecoute

-      Oui Octave, c’est derrière le rocher… Approchons"

-      Oh, que fais tu ici???

Une petite paysanne, avec une robe et un foulard sur la tête, pleure.
Avec son mouchoir, Sara s'approche d'elle et lui essuie les larmes. L'enfant pousse un cri de joie lorsqu'elle les aperçoit.

Ils la retirent doucement et délicatement en disant:" Comment t’appelles tu??,"

-      Je m’appelle Lamia"

-      Et comment es-tu arrivée ici??" continue Sara

-      J’ai perdu ma route " répond Lamia

-      Laisse-la Sara dit Octave, elle est petite.

-      Dis-moi Lamia où vas-tu??" demande Sara

-      Ce matin, j’ai suivi mon père qui est sorti à pieds pour aller au marché. Dans deux jours, C’est la fête de l’Aïd ; il va nous acheter des vêtements.

-      Compris Lamia " disent les deux cousins

-      Et vous, que faites vous ici ? 

-      Nous sommes venus ici pour  jouer

-      Eh regardez, il y a une église là-bas ! dit Octave.

-      Moi je voudrai savoir ce qu’est la religion chrétienne, s’il te plaît ? dit Lamia

-      Allons-y, le prêtre va tout vous expliquer, je le connais bien. répondit Sara.
Sara, Lamia et Octave entrent dans l’église.
Le prêtre s’approche d’eux :

-      Bonjour Sara, tu m’amènes tes amis ?

-      Oui, ils sont musulmans et aimeraient avoir quelques explications sur la religion chrétienne ; Je ne sais pas comment leur expliquer.

-       Alors, mes enfants, la religion chrétienne est proche de la religion musulmane. Jésus, le fils de Dieu pour les chrétiens, est arrivé sur terre pour sauver les hommes de leurs péchés. A la fin de sa vie, il est tué par les Romains, et le 3ème jour après sa mort il ressuscite ! …

-      Mais comment savez-vous tout cela ? intervint Octave

-      He bien, nous avons un livre, la Bible. Elle est partagée en deux parties : l’Ancien Testament, qui raconte la vie des prophètes, la création… et le Nouveau Testament, qui raconte la vie de Jésus.

-      Oh merci, vous m’avez éclairci les idées par rapport à votre religion, dit Lamia.

-      Mais c’est bizarre, on dirait que l’Ancien Testament ressemble aux Sourates, dans le Coran ? dit Octave.

-      Mais oui, mon petit, tout cela est vrai, maintenant tu sais beaucoup de choses sur notre religion.

-      Maintenant, sortons, je ne veux pas embêter le prêtre, dit Sara.

-      D’accord. répondirent les autres enfants.

-      Visitons la mosquée aussi, ajoute  Lamia.

-      Oui mais pas maintenant, répond Sarra

Eh oui chère amie ne refuse pas  mon  invitation, profite.

On va parler à l’Imam cheik Ali; d’accord ???

-      Oui Lamia entrons.

Les enfants sont surpris par l’architecture de la mosquée, s’approchent et s’assoient autour de l’imam.

-      Bonjour mes petits, comment pourrais-je vous aider ?

-      AH…. nous sommes des nouveaux amis. Moi, je suis musulmane et eux  sont des chrétiens. J ai visité l église avec eux et maintenant c’est mon tour pour leur présenter  ma religion  et à vous Cheik Ali la parole.

-      Soyez les bienvenus mes chers enfants,

-      L’Islam est la religion de l’amour et de la fraternité entre tous les hommes et entre les nations du monde. Le musulman n’est pas l’ennemi de son prochain ni d’aucune autre créature.

-      A ce sujet, Allah dit ceci :

-       « Entraidez- vous dans l'accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression. Et craignez Allah, car Allah est, certes, dur en punition! »

(Al Maïda, 5/2)

-    Lorsqu’ils sortirent, ils virent une lueur sous les flocons. Ils s’approchèrent de celle-ci. Et tout à coup ils entendirent des cris sous la neige ; tous les enfants se mirent à creuser la neige ils découvrirent deux enfants : deux jumeaux.

-     Merci pour votre aide, dirent les inconnus. Nous sommes deux frères jumeaux, orphelins et aveugles. Que pouvons nous faire pour vous car vous nous avez sauvés.

-    Si vous voulez, vous pouvez nous suivre. Mais avant toute chose, je m’appelle Octave et voici ma cousine, Sara

-    Et moi, je m’appelle Simon et voici Thomas; c’est moi le plus grand.
Ils continuèrent à se rapprocher de la lueur. Ils commencèrent à distinguer ce que c’était : c’était une église et une mosquée. Sara dit :

-    Je pense que je vais aller avec Simon dans l'église, toi avec Thomas et Lamia dans la mosquée.

-    OK, répondit Octave.

Ils se regardèrent, s'embrassèrent et partirent. Dès qu'ils entrèrent dans ces lieux de recueillement, ils virent des escaliers menant à une grotte. Lorsqu'ils arrivèrent en bas ils découvrirent une énigme. Elle était à côté d’un couloir où il y avait des lettres par terre.
Alors, j’ai 4 pattes à ma naissance, plus tard j’en ai 2 et ensuite j’en ai 3. lit Octave.

-    Je sais !!! intervint Thomas, c’est l’homme : lorsqu’il naît, il marche à quatre pattes, lorsqu’il grandit il est debout et lorsqu’il vieillit, il a une canne.
-Bravo, s’écria Octave, mais pour pouvoir passer il faut marcher sur les bonnes lettres. Alors c’est toi, Lamia qui va traverser en premier, dit-il en tremblant, j’ai peur !!!

-    D’accord mais fais attention à Thomas.

Elle suivit ainsi les bonnes lettres sans se soucier de ce qui se passerait si elle se trompait et arriva de l’autre côté en rigolant.

-    C’est facile, cria-t-elle, c’est le tour de Thomas maintenant ; je vais t’indiquer la direction que tu dois suivre, alors va à droite, avance, à gauche… C’est bon à ton tour Octave.
Il avança il se mit sur le « h » ensuite sur le « o », sur le « m » mais il fit une erreur en mettant son pied sur le « e » alors toutes les lettres se mirent à tomber.

-    Ahh, cria-t-il

Mais Lamia l’attrapa juste à temps et le sauva d’un fleuve de lave.

-    Merci, dit-il avec soulagement, sans toi je ne serais plus là.
Ils continuèrent leur chemin dans une forêt où les oiseaux chantaient vivement, où les écureuils jouaient tous ensemble. C’était magnifique. Mais cet air joyeux s’est tout à coup arrêter. Il y avait deux passages. L’un d’entre eux était habité du cri d’une personne en détresse. Octave l’avait reconnue : c’était Sara…Ils suivirent le son de sa voix. Arrivé derrière elle, Octave lui tapota l’épaule.

-    Hiii ! cria-t-elle. Vous m’avez fait peur mais aidez moi à le faire passer, dit-elle en désignant Simon.

-    Je vais l’aider, répondit Octave, on a dû le faire avec Thomas.
Alors il le fit traverser sans aucun souci et continuèrent leur chemin en racontant ce qui s’était passé depuis qu’ils s’étaient séparés.

Arrivés au point d’intersection des trois chemins, ils se dirigèrent vers le 3e chemin : un chemin boueux. Ils le passèrent en glissant, en tombant, en s’enfonçant. Lorsqu’ils traversèrent ce chemin dangereux ils virent un magnifique château mais un magnifique ravin où la mort règne, les séparait de celui-ci. Simon brisa le silence qui régnait en tombant par terre. En glissant il éjecta plusieurs cailloux qui se mirent à flotter au dessus du ravin.

-    Merci, crièrent Octave, Sara et Lamia, tu vas nous permettre de passer de l’autre côté du ravin. Ils se mirent à lancer des cailloux dans le vide jusqu’à ce qu’un pont apparaisse. Ils passèrent ce pont avec prudence, main dans la main. Ils entrèrent ensuite dans le somptueux château. Ils passèrent un hall magnifique et découvrirent une porte ornée de mots comme : l’amour, la paix, le respect… Ils la passèrent, toujours main dans la main et découvrirent des manuscrits : celui de l’aïeul de Lamia ainsi que celui de Sara et Octave. Mais il y avait un point commun entre les deux, c’était qu’il était écrit à la dernière page : « la tolérance entre les êtres est l’étape la plus importante pour être croyant ». Ils prirent ensuite leur livre et partirent. En sortant, un vent glacial traversa la salle. Et tout à coup, le père de Lamia passa, elle sortit vite de la grotte pour aller le voir. Lorsqu’ils rentrèrent chez eux, ils présentèrent leurs nouveaux amis. Ensuite, ils se mirent tout à coup à crier tous en cœur « Nous sommes tous frères sur la terre !!! ». Mais Sara et Octave avaient de la peine pour les jumeaux alors ils demandèrent à leur mère si elle pouvait les adopter. Après moult réflexion elle dit.

-    Non, mais ma sœur voudra peut-être, je vais l’appeler.

-    Allo, salut ça va…euh, est-ce-que tu veux adopter deux jumeaux aveugles……………………………D’accord… oui… au revoir…

-    Bip bip bip…

-    Elle a accepté ? dit Simon.

-    Oui !!! dit-elle avec joie.

-    Ouais !!! continuèrent les enfants.

Lorsqu’ils grandirent Octave se maria avec Lamia et Sara avec le grand frère de Lamia et eurent chacun 7 enfants.

L’énigme du respect

Les_smileys

Victor Schoelcher

Il est né le 22 juillet 1804. Il fait ses études au lycée Condorcet. Son père l'envoie en Amérique, à Cuba et aux Antilles. Là-bas, il est révolté par le traitement infligé aux esclaves, ces hommes qui étaient pourtant comme nous, c'est à dire, libre selon la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Ça, Victor Schoelcher s'en était pourtant rendu compte… Et s'ils étaient comme nous ? Pourquoi n'auraient ils pas le droit de connaître la liberté? Cette liberté, les esclaves en rêvaient jour et nuit. Pour eux, la vie était un calvaire pendant que nous vivions une vie facile et libre. Victor était-il le seul à penser aux autres? A cette époque, malgré quelques réticences, oui !!!! Pour lui, c'était son devoir et son désir de donner la liberté à tous les hommes, ce mot qui paraissait si petit dans les colonies. Le 27 avril 1848, en homme politique responsable, il fit voter l'abolition de l'esclavage en accord avec la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Les esclaves sont enfin libres, quel bonheur! Il y était arrivé, la liberté avait gagné!!!!! Merci Monsieur Schoelcher ! Vous mourrez en paix, respecté par tous les hommes épris de liberté en 1893, 45 ans après cet acte tellement humain !

Liberté,

Je t’écris

Liberté,

Je te crie                 Liberté, Je te choisis

Liberté

Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffées d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté

Paul Eluard
in Poésies et vérités, 1942

http://www.canal-educatif.fr/videos/art/1/delacroix/la-liberte-guidant-le-peuple.html

Château des Rubins à Sallanches

Situé à l'entré de la grotte de Sallanches, à 100 m de la place de l'église, il date du XIV ème siècle. Mi XVI ème il appartient à la famille de Loche dont plusieurs membres sont baillis du Faucigny. Puis au XVIII ème siècle il passe aux de Chassey qui le vendent en 1754 au chapitre de la collégiale de Sallanches. En 1978, finalement le château passe à la commune où est installé
Le très intéressant Centre de la Nature Montagnarde: Expositions permanentes, panneaux , vitrines, animaux naturalisés, équipements audiovisuels, jeux, écrans tactiles, cédéroms, bibliothèque... conférences, balades organisées.

SALLANCHES

Sallanches est une vallée de haute savoie dans la région du Rhône-Alpes .

La ville occupe la partie nord du bassin de Sallanches, large plaine glaciaire traversée par l'Arve et bordée par le massif des Aravis, le massif du Mont-Blanc et le massif du Faucigny. Ce vaste bassin aux versants peu raides contraste avec les hauts sommets qui l'entourent. Dédié principalement à l'agriculture et au tourisme (lacs et campings), il abrite aussi les communes de Domancy, Passy et Saint-Gervais-les-Bains.

Le climat y est de type montagnard en raison de la présence du Massif alpin, il est chaud et humide l'été mais froid ou très froid en hiver. En effet l'été est chaud et orageux, les précipitations sont les plus élevées pendant la période estivale. Les températures varient en moyenne de 15 à 26 , le record absolu de chaleur ayant eu lieu pendant la grosse canicule 2003, plus précisément le 12 août 2003 avec 42  par effet de foehn sachant que de nombreux records de chaleur ont été battus ce jour là sur l'ensemble de la France. Les hivers sont froids en raison de la proximité de massifs montagneux, les températures moyennes sont de -3 à 6  et le record absolu de froid enregistré est de -25  en janvier 1985. La neige tombe parfois en grande quantité comme en février 1977 où des précipitations continues de neige ont été enregistrées 3 jours et 3 nuits, avec une hauteur de 1,1 m. Sallanches a connu aussi des hiver doux comme par exemple en janvier 2004 où une température de 18  fut relevée le 13

Voici le lac de Sallanches en été ce lac est réputé pour sa vue , comme on peut le voir sur la photographie . La ville ne compte pas beaucoup d'habitants mais les touristes l'apprécient pour son esthétique.

Situé à l'entrée des gorges de la Sallanche, à 100 m de la place de l'église, il date du XIV ème siècle. Mi XVI ème il appartient à la famille de Loche dont plusieurs membres sont baillis du Faucigny. Puis au XVIII ème siècle il passe aux de Chassey qui le vendent en 1754 au chapitre de la collégiale de Sallanches. En 1978, finalement le château passe à la commune où est installé
Le très intéressant Centre de la Nature Montagnarde: Expositions permanentes, panneaux , vitrines, animaux naturalisés, équipements audiovisuels, jeux, écrans tactiles, cédéroms, bibliothèque... conférences, balades organisées.

Au Pays du Mont Blanc

Sallanches avait été bâtie très irrégulièrement, avec des rues étroites et tortueuses, des maisons serrées les unes contre les autres.
Deux incendies ont endommagé la ville en 1519 et 1669, mais la plus grande catastrophe reste le feu gigantesque qui embrasa la cité le 19 avril 1840. En deux heures ce feu anéantit une grande partie de Sallanches et fit périr par les flammes plus de 50 personnes.

Le château fut l'un des rares édifices épargné par l'incendie. La ville fut à nouveau reconstruite. Pour que ce genre de catastrophe ne se renouvèle pas, maintes précautions furent prises. Ainsi l'ingénieur Justin élabora un plan en damier avec des rues larges et bien aérées.
C'est cette configuration moderne que l'on retrouve aujourd'hui.

Au XIX ème et au XX ème siècle, le château était occupé par diverses familles sur lesquelles on a peu de renseignements.
Il fut épargné lors du terrible incendie qui détruisit 320 maisons de la ville en 1840.
Par la suite, on sait que cette bâtisse fut surnommée le Château des "Chattes Grises" à cause de trois vieilles dames habillées de gris qui l'habitèrent.
Dans un proche passé, les divers appartements étaient loués. En 1978, le château fut racheté par la ville de Sallanches, actuel propriétaire.

L'architecture

Dans son état actuel, le château comporte un bâtiment carré à plusieurs étages, avec sur la face nord de belles fenêtres à meneaux au linteau en accolade.
La haute tour carrée se distingue par ses cinq baies grillées superposées et sa toiture surmontée de deux épis sur une crénelure. Sur les cotés, des corbeaux en saillie devaient soutenir des hourds en bois ; une échauguette s'appuyait à l'angle sud-ouest de cette tour.
De l'autre côté du bâtiment principal, s'élevait une autre tour carrée dont la partie supérieure s'est écroulée.
Le château visible sur la gravure d'Albanis Beaumont, était muni autrefois d'échauguettes aux quatre angles. Toutefois, nul document ne permet d'expliquer les importantes modifications que subit le château entre le XVII ème et le XIX ème siècle.
L'extension du château date de 1997 et comporte ainsi deux niveaux supplémentaires avec notamment une coursive faisant le lien avec l'ancienne bâtisse.

L’histoire de Sallanches n’est connue qu’à partir du XI° siècle. Au début du XIV° siècle, Sallanches, dont le sort est lié à la province du Faucigny, (l’une des anciennes provinces du Duché de Savoie) dépend de la famille de Savoie qui fonde en 1718 le royaume de Piémont Sardaigne.
Après l’occupation française, pendant la révolution et le Premier Empire (1792-1814), la monarchie Sarde est restaurée jusqu’au rattachement définitif de à en 1860.
En 2010, étaient célébrés les 150 ans du rattachement de et Haute-Savoie à
La réunion, au centre ville, de et de (ou torrent de ), forme les armoiries de la ville de Sallanches. Ces deux rivières se rejoignent en V sur fond de gueules au chevron versé ondé d’argent (avant  figuraient 3 coquilles de St Jacques en l’honneur du Saint Patron de ).
Sallanches a connu inondations, épidémies et incendies.
1520 Incendie destruction des trois ponts en bois et de l’église ainsi que des archives de l’hôpital,
1618 – 1638 Inondations dues aux crues de , et l’Arve,
1669 - 1696 – 1768 Incendies,
1840 Incendie et disparition du patrimoine architectural.

FIN

                                                     La Chapelle-d'Abondance

Le maire de la Chapelle-d'Abondance se nomme monsieur Bernard MAXIT.
Pour toutes vos démarches administratives, vous pouvez vous rendre à la mairie de la Chapelle-d'Abondance chef Lieu aux horaires d'ouverture indiqués sur cette page. vous pouvez aussi contacter la mairie par téléphone ou par courrier électronique en utilisant l'adresse e-mail de la mairie indiquée ci-dessous. c'est un petit village français, situé dans  et la région du Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Chapellans et les Chapellanes.
La commune s'étend sur 37,9 km² et compte 832 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006.

La Chapelle d'Abondance

Cette petite station est une des nombreuses portes d'accès à l'immense domaine franco-suisse des Portes du Soleil. Mais la Chapelle d'Abondance c'est aussi un village savoyard qui a préservé tout son charme tout en mettant en avant la dimension familiale d'un séjour à la montagne. Des pistes faciles, un soleil généreux, et une vue superbe sur le lac Léman garantissent de belles journées de ski. Le soir venu vous retrouverez l'atmosphère conviviale d'un village de montagne autour d'une galette de pommes de terre et d'un fromage d'abondance, la spécialité locale.

La région de la Chapelle-d'Abondance
Bienvenue sur le site de l'ESF La Chapelle d'Abondance. Bienvenue à l’ESF de La Chapelle d'Abondance, station des Portes du Soleil. Nos 60 moniteurs vous accueillent pour vous accompagner sur la neige.

Les pistes de la Chapelle d Abondance
Altitude du village:1020m Altitude minimum / maximum:1020/1800m La Chapelle d'Abondance: 16 pistes (50 km + 40 km Ski de fond ) 5 pistes 7 pistes 3 pistes 1 pistes
L histoire de la Chapelle-d'Abondance
La vallée d’Abondance a la chance de posséder son propre habitat traditionnel : de belles fermes en bois que vous ne trouverez nulle part ailleurs…Le visiteur est tout d’abord frappé par les vastes proportions de ces constructions. Puis son regard est attiré par les 2 ou 3 galeries magnifiquement sculptées et décorées qui courent la façade.
Ces immenses fermes peuvent comporter 2 logements symétriques. Le soubassement en pierre abrite les caves.
L’habitation est en façade (au niveau du premier balcon), séparée de l’écurie par un long couloir.
Le balcon supérieur à l’étage du fenil sert au séchage des récoltes. A l’arrière de la ferme, une pente permet un accès direct au fenil


Le style de maison

L'église de la Chapelle-d'Abondance
Visite virtuelle de l'Eglise St Maurice
Francis WEY, écrivain du XIXème siècle, missionné à travers la Haute Savoie afin de décrire à la France ce nouveau département tout juste rattaché à son territoire, est surpris par l’apparence du clocher :
" On atteint ainsi La Chapelle dont le clocher fantasque se termine par deux lanternes superposées, séparées par des boules de cuivre… "

A l’époque des Colporteurs

Autrefois sculptée par les bergers lors des longues veillées d'hiver et considérée comme porte-bonheur, "la colombe" est un objet d'art populaire dont l’origine remonte aux colporteurs venus des pays de l’Est.
Réalisés avec 2 morceaux d'épicéa, pour former d'une part la tête, le corps et la queue, d'autre part les ailes, c’est principalement ici, dans la vallée, que l'on continue à fabriquer ces oiseaux de bois au plumage déployé.
Gage de tradition et de savoir-faire, la colombe vous guidera au fil de ces pages pour que votre séjour parmi nous soit un vrai bonheur...

                                                                    

http://www.youtube.com/watch?v=T8TZ_1w3uLY

Bravo Erwan !!!

http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=FWIToKukV3o

Les truffes

Le mardi 13 décembre à 13h 25, nous sommes allés à la cantine pour faire des truffes.

Sur le chemin, Elven avait cassé son bol. Il y avait 5 groupes. Dans notre groupe, se trouvaient Amine, Justine, Julien, Juliette et nous (Léna et Charles). Nous nous sommes tous changés et nous avons commencé...

Au début, nous devions casser du chocolat (7 plaques). Nous, on devait compter Justine en double car ses parents sont séparés. Ensuite, monsieur Douez nous a distribué 4 cubes de beurre que nous avons écrasés dans le chocolat. Monsieur Douez a pris le saladier et l'a mis au four. Pendant ce temps, nous cassions les œufs en séparant le jaune du blanc. Nous, on a utilisé que le jaune, et nous l'avons mélangé avec du sucre.

Monsieur Douez nous a apporté le saladier plein de chocolat et de beurre, que nous avons remué. Après, on a versé le sucre et le jaune d'œuf mélangé dans le chocolat et le beurre. Nous avons ajouté le sucre vanillé. Monsieur Douez a repris le saladier et l’a mis au réfrigérateur. Nous sommes repartis.

Le jeudi 15 décembre, nous sommes partis à la cantine pour finir les truffes. Nous avons repris la même table et monsieur Douez nous a apporté notre saladier, 3 grandes cuillères, 4 barquettes et du cacao. Nous avons pris les grandes cuillères et commencé à prendre le chocolat du plat pour former des boulettes que nous devions recouvrir de cacao. Le chocolat était très dur alors ça n'a pas été facile. Nous avons terminé les derniers et plein de chocolat. Nous nous sommes lavés les mains et nous sommes partis les

truffes à la main.

En tout cas, nous espérons que monsieur Douez ne va pas mettre les photos sur le blog...

Charles et Léna 

Les truffes

Bonjours, vous aimez les truffes, moi oui !!! Alors écoutez cette histoire. « Vraie !!! »

Chapitre1

Nous sommes mardi, nous allons à la cantine et nous avons été divisés par groupe sur 5 tables différentes et TGM alias très grand maître alias mon bon maître alias Alain Douez

Alors oui je sais, cela n’a aucun rapport avec les truffes mais écoutez la suite.

Chapitre2

Monsieur Douez s’exclame :

« Alors avant toute chose je vais vous demander de calculer les quantités de beurre et de chocolat !!!Puis les chefs de groupe, vous viendrez me les dire. »

Ho mince présentons-nous

 Le groupe de Josephine :

Erwan, Suzanne, Grégoire, Tess, Jules

Et moi Charlotte mon groupe était :

Marie, Valentine, Hippolyte, Maïlys

Ensuite nous avons mis le beurre et le chocolat dans le saladier.

Ne partez pas, écoutez au moins la fin de l’histoire

Chapitre3

Puis les choses  se suivirent, alors Monsieur Douez mit tous les saladiers au four. Pendant ce temps-là tous les groupes cassèrent leurs œufs pour faire une belle pate.

Alors si on poursuivait cette histoire

Chapitre4

Une fois que quelques minutes passèrent, nous pûmes sortir le beurre et le chocolat du four ; cela sentait très bon et donnait faim. Puis nous mélangeons le tout et nous mettons cela au frigo.

Bon allez, on va manger  une truffe maintenant que je vous en ai mis plein la bouche.

          CHARLOTTE DE BAUDUS ET JOSEPHINE MANESSIER

Les truffes

Nous partons de l’école ce mardi 13 décembre, dans l’après-midi pour aller à la cantine. Nous avons calculé les doses qu’il nous fallait pour environ 40 truffes chacun. Nous cassons les plaques de chocolat à mélanger avec du beurre. Après, Mr. Douez va le mettre dans le four. Pendant ce temps là, nous cassons les œufs en séparant le jaune du blanc. Nous ajoutons le sucre puis le sucre vanillé.

Ensuite Mr. Douez apporte le saladier, il faut mélanger le beurre et le chocolat ; nous mélangeons les deux contenus dans le grand saladier et Mr. Douez va le mettre dans le réfrigérateur. Nous repartons à l’école vers 15h 15. Nous laissons reposer la pâte mercredi, même si sur la recette il est marqué de laisser reposer la pâte 1h.

Nous revenons jeudi après-midi pour former les truffes. Pour les faire, on devait prendre du chocolat, le rouler pour former une truffe et la rouler dans le cacao et ainsi de suite.

Après nous les avons mises dans des sachets et nous les avons emballées  avec du bolduc. Enfin nous sommes repartis à l’école avec notre sachet rempli de truffes.

Le mardi

Pour le cadeau de Noël, le mardi 13 décembre après-midi à 13h30, nous avons confectionné des truffes pour nous et notre famille. La classe était divisée en 5 groupes avec dans chaque groupe, un chef d’équipe. Les chefs de groupes étaient Inès, Léna, Tess, Claire et charlotte De Baudus. Le groupe d’Inès était composé d’Elven, Madelaine, Théo et Titouan. Le groupe de Léna était composé d’Amine, Julien, Juliette, Justine et Charles. Arrivés à la cantine, Maria et Saudade nous ont accueillis. Avec le groupe d’à côté, le groupe d’Inès a quelques « anecdotes » avec eux,

Le chef de groupe était Tess et les autres étaient Erwan, Suzanne, Joséphine et Grégoire. Par exemple, Mr Douez leur a pris un carré de chocolat et l’a mangé, donc, Suzanne est venu à notre table et nous a pris du chocolat. Une anecdote du groupe de Léna, Justine n’arrêtait pas de montrer comment séparer les jaunes d’œuf.

Le jeudi

En arrivant à la cantine, nous nous sommes installés à nos anciennes tables recouvertes de nappes en papier. L’objectif de cette 2e  journée était de faire des boulettes avec le chocolat et les recouvrir de cacao. Quand notre plat fut arrivé à notre table nous avions le souffle coupé car le chocolat était très dur.

Un moment dans le groupe d’Inès, Titouan a voulu prendre du chocolat mais il n’y arrivait pas et quand avait réussi, (enfin), il y avait mis tellement de force que le chocolat s’est retrouvé par terre. Le premier groupe à avoir fini fut celui de charlotte De Baudus.

Pendant ce temps, le groupe de Léna n’était à peine qu’à la moitié de son récipient (le groupe d’Inès n’était pas très loin de celui de Charlotte De Baudus). Lorsque tous les groupes eurent fini, le groupe de Léna dut se presser car ils n’avaient pas terminés. Pour aller plus vite, Amine s’est énervé et a tapé de toute ses forces sur le chocolat alors celui-ci s’est divisé et le plat fut enfin fini

Les mains de tous les enfants étaient recouvertes de cacao (voici quelques photos) mais nous avons comme même apprécié ces deux après-midis bien cacaotées !

Fin

Amine et Inès

DURANT

LA

TRÊVE

DE

NOËL

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BONNES VACANCES A TOUS

LES TRUFFES

Chapitre 1

Mardi 13 décembre, nous étions l’après-midi, il était 13h35 quand nous sommes partis de l’école à pieds pour aller à la cantine. Il y avait des  nuages. Nous étions un peu bruyants sur le chemin. Quand  nous sommes arrivés à la cantine, Mr Douez nous a dit de nous mettre par groupe puis notre groupe est entré le premier. Il  est composé de : Charlotte De Baudus (chef d’équipe), Valentine Villier, Marie Honorez, Maïlys Duprez et Hippolyte Debove.

Monsieur Douez  nous a demandé de calculer la quantité qu’il fallait car la recette de 40 truffes était pour un  élève. Nous commençons notre fabuleuse cuisine. Il fallait un kilogramme de chocolat que nous commençons à casser .Nous (Maïlys et Hippolyte) avons presque cassé tout le chocolat car nous a avons l’habitude comparé aux autres membres du groupe. Nous (tout le groupe) avons ajouté le beurre.

Puis le mélange beurre et chocolat est allé au four. Pendant ce temps nous avons cassé les œufs, ajouté le sucre et  mélangé. Le mélange  beurre chocolat est revenu à notre table. Nous y avons ajouté le sucre vanillé. Nous avons mélangé le mélange beurre chocolat avec le  mélange œufs sucre. C’est fini pour aujourd’hui nous rentrons à l’école  tout contents de ce qui vient de se passer.

Chapitre 2

Nous sommes maintenant le jeudi 15, l’anniversaire de « Bérengère » (Hippolyte). Nous  revenons à la cantine emplis de sensations joyeuses pour faire les truffes. Aujourd’hui nous les confectionnons.

Nous les préparons avec joie. C’est  nous deux qui raclons le chocolat dans le saladier. Les autres en prenaient un peu, faisaient une boule et le roulaient ensuite dans le cacao  jusqu'à ce qu’il n’y en ait plus. Après Hippolyte, Valentine et Marie les ont mises dans des sachets, pendant que Charlotte et moi commençons à emballer. Nous avons pratiquement tout fait. Puis nous sommes rentrés à l’école.

                                                                                                                                                Hippolyte et Maïlys

Spectacle : L’élixir de la Saint Glin-Glin

« C’est un spectacle sur deux personnages, Rose et Moune, qui n’ont plus d’argent pour s’acheter de la nourriture donc, elles vont faire une arnaque », nous explique un monsieur. Une dame arrive et nous souhaite un bon spectacle, nous sommes trois classes toutes arrivées d’une autre école. Pour une fois, nous sommes les plus sages !!! Le rideau se lève et nous voyons une caravane, habitée par Rose et Moune, les seuls personnages. Moune est une adulte, gentille, sociable, et adore sa mouche. Rose est âgée, méchante, égoïste, et déteste la mouche !

C’était drôle quand elles disaient « Yayourt » !!! Mais un jour, plus de yayourts ! Elles vont alors consulter le livre des arnaques, et elles mimèrent les choses ! On eut droit au cambriolage et à « l’arnaque ». Puis, pour gagner de l’argent, il fallut fabriquer un élixir qui fait vivre les gens jusque 203 ans (c’est une « arnaque ») !!! Elles vont faire l’élixir puis aller à La Madeleine, à Marcq, à Lille et enfin à Paris ! Et cela va marcher puisqu’elles vont être riches et pouvoir s’acheter plein de yayourts mais comme Rose est égoïste, elle ne va donner que quelques billets à Moune, pour faire SES courses !!!

Mais Moune en a assez de « chouchouter » Rose, alors, elle part, mais elle revient un peu plus tard, Rose tue la mouche puis Moune , pleine d’espoir , fait boire l’élixir à la mouche , et elle revit ! Ce qui était bête, c’est qu’on voyait leurs mains pour lever la lune. Mais bon, nous avons tous passé un excellent moment.

FIN !!!

Jules Thomas