16 décembre 2011
Jules et Caroline
La belle Caroline
Ah ! Qu’elle était belle, ma Caroline,
Avec son sable haut et fin,
Comme une magnifique colline.
Certes, il n’y avait point de pin,
Mais je l’aimais, et elle m’aimait,
Elle dansait si bien, je l’acclamais.
Mais un mauvais jour de printemps,
Je la vis s’emportant,
Vers l’océan déchaîné.
Je n’ai pas pu résister, j’ai dû pleurer.
Et sa barque heurta, d’une puissance totale,
Le fond du fond, et cela me rendit pâle.
Depuis, je ne puis vous en parler,
Sinon, je sentirais des larmes couler.
Je ne puis même penser à elle,
Car je la sais tant belle.
Je sais sérieusement,
Que je ne pourrais jamais retrouver un amant.
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